Mais rien ne précise le devenir des fruits
à noyau telles cerises et guignes.
Une poignée de guignes
des plus appétissantes.
À la date du 31 Décembre 2014
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" Le Blog de Papycousteau "
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Mais rien ne précise le devenir des fruits
à noyau telles cerises et guignes.
Une poignée de guignes
des plus appétissantes.
" LE TEMPS "
Mais au juste, qu’attend le temps ?
Il n’attend rien... le temps !
Il faut se rendre à l’évidence :
Le temps n’est pas une présence,
et pourtant on parle du temps présent ...
Mais le temps se contente de passer
aujourd’hui comme avant,
sans jamais s’arrêter.
Lorsque l’on est enfant,
on se dit que plus tard, quand on sera grand
on aura tout le temps que l’on voudra.
En réalité, c’est ce que disent les parents,
et c’est tout heureux qu’on attend ce temps là.
Mais au fil du temps
on s’aperçoit vite que ce temps là
n’arrive jamais à temps.
Eh oui, la vie, c’est le temps :
C’est le temps qui court,
c’est le passé, c’est le présent
c’est la vie qui passe.
c’est la vie qui lasse
C’est vrai, on n’a jamais le temps.
Pourtant, il y a un temps pour tout.
Oui, le temps est un fourre-tout !
Mais c’est surtout le temps de rien
qui prime tout au long de notre chemin.
Et maintenant, tout ce temps perdu,
que je laisse derrière moi qu’en dis-tu ?
que puis-je en faire, de tout ce temps ?
Je m’aperçois qu’aujourd’hui,
à vrai dire je n’ai qu’une seule envie :
celle de prendre mon temps
pour laisser passer le temps.
Maintenant, à mon âge, j’ai le temps. C’est vrai,
ralentissant chaque jour plus que jamais
je me dis : prends donc le temps de prendre ton temps,
c’est le secret pour vivre longtemps !
De temps en temps, hélas sans m’émouvoir,
je me surprends encore à ne pas y croire.
Michel SELESNIEW
alias PAPYCOUSTEAU.
Je vous l'avais bien dit !
Je n'ai le temps de rien, pas même de m'expliquer.
La preuve ?
Lorsque j'ai repris contact avec mon blog il y a trois jours je n'ai pas même eu le temps de vous indiquer qu'entre mes deux séjours en Guadeloupe, l'an passé, après avoir "entaillé" ma haie, j'ai fait un saut au Japon. Trois semaines dans un pays dont il faut que je vous parle un de ces jours, si j'en ai le temps, bien sûr, car j'en suis encore à travailler sur le millier de photos que j'ai rapportées de ce pays du soleil levant.
Et à propos de temps, cette grandeur immatérielle sans mesure, il serait temps que je pense sérieusement à prendre un peu de temps... afin d'étudier de près ce milieu indéfini où paraissent se dérouler irréversiblement les existences, la mienne, les vôtres, avec leurs changements d'orientation, comme les évènements et les phénomènes de la vie au cours de leurs successions.
C'est vrai, quoi !
De tous temps toujours l'homme a mis ce terme, " le Temps " en position d'accusé, mais va savoir ? Qu'est-il donc, au juste, ce temps dont parle tant ?
Oui, attends ... qui veut ou peut répondre ?
Il est inutile que je me cherche une excuse, je n'en ai aucune.
(1) Louis-Henri BOUSSENARD est un auteur français de romans d'aventures. Il est né à Escrennes (Loiret) le 4 octobre 1847 et mort à Orléans le 11 septembre 1910. Aujourd'hui, à peu près oublié en France, BOUSSENARD connaît un grand succès en Russie où presque tous ses romans (quarante volumes) ont été publiés et sont disponibles en librairies.
" Capitaine Casse-Cou " " Capitaine Casse-Cou "
Édition Russie 2004 Édition France 1934
Hé bien non, j’ai enfin fini par réaliser qu’il n’en était absolument rien : je suis fatigué parce que je travaille trop !
C'est l'exacte vérité et je vous le prouve :
La population de ce pays est de 60 millions d’habitants sur lesquels 24 millions sont des retraités, ce qui laisse le nombre appréciable de 36 millions de citoyens pour faire ce qui s'appelle le travail.
Mais, si l’on retire encore 21 millions d’étudiants, d’écoliers et de bébés plus 2 millions de chômeurs, plus 7 millions de fonctionnaires ou assimilés, il ne reste guère que 6 millions de “clampins” pour bosser.
En soustrayant alors les 2 millions de militaires, les 3 millions d’immigrés, les 620.000 personnes hospitalisées et les 379.998 taulards, il ne reste plus, c'est clair, que deux “pauvres cons” pour faire le boulot : toi et moi.
Et toi, tu glandes, tu es là, assis sur ton cul, à lire ces conneries.
Alors, ce n’est pas étonnant que je sois vraiment surmené.
Ouf !!! Je suis fatigué .
A la prochaine... peut-être ! Lorsque j'aurais le temps !
PS - J'oubliais de vous dire que, depuis quelques années,
j'ai hérité du surnom de
PAPYCOUSTEAU.
Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616)
Né avec le Siècle d'or, Cervantès eut une longue vie errante.
Soldat, il participa à la bataille de Lépante (1571).
Il y perdit un bras. Il fut fait prisonnier et passa cinq ans au bagne d'Alger.
Poète, dramaturge et romancier il a ouvert les voies de l'absurde
et reste un modèle de littérature burlesque.