Il emballait les saucissons,
préparait les jambons, fondait les saindoux,
faisait les lards de poitrine, les lards maigres,
les lards à piquer.
Émile ZOLA
(Le ventre de Paris).
Il est loin le temps où, en France, à l'heure bénie du casse-croûte,
l'ouvrier comme le paysan tirait de sa musette
un beau morceau de lard bien gras
et s'en régalait à belles dents.
Ça ne se fait plus ! Qui, de notre temps, oserait ainsi tenir boutique ?
Eh bien, dans tous les pays de l'Europe de l'Est ,
encore de nos jours, les Slaves, trouvent sur les étals de leurs marchés
des commerçants spécialisés dans la vente du lard.
Les Ukrainiens de Sébastopol
sont nombreux à connaître le banc de ce détaillant
qui sait choisir des porcs de qualité supérieure pour satisfaire sa clientèle.
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